Edition de La Femme affranchie, "organe mensuel du féminisme ouvrier et socialiste", et tract de présentation de La Femme affranchie qui se trouve à l'intérieur. Féministe, antimilitariste (condamnée à la prison en 1907 pour "incitation de militaires au vol et à la désobéissance"), Gabrielle Petit développait dans son journal La Femme affranchie la propagande néo-malthusienne. Elle s'efforça de vulgariser l'usage des procédés contraceptifs au cours d'une tournée de conférences et en invitant ses lectrices à lui rendre visite.